- Ouvrage clandestin, par Mousodive d'après le volume d'introduction de la "Gazette nationale ou le Moniteur universel". Cette attribution est reprise par Barbier et par Quérard qui orthographient le nom Monsodive, et signalent Volney comme collaborateur. Volney est maintenant généralement considéré comme étant l'unique rédacteur

- La premier numéro a d'abord paru sous le titre de : "Avis aux gens de toute profession, science, arts, commerce et métiers ; composant l'ordre du Tiers-Etat de la province de Bretagne ; par un propriétaire, en ladite province"

- A donné lieu à une réédition dont le titre porte : "Affaires de Bretagne. La Sentinelle du peuple. V numéros. N° Ier" ; le titre de départ du n° 1 y est modifié en "La Sentinelle du peuple" et le texte légèrement remanié

- A donné lieu à de nombreuses imitations ou contreparties : "La Sentinelle de la noblesse" ; "Le Caporal" ; "Confession de la sentinelle" ; "Le Cousin de la sentinelle du peuple" ; "La Véritable sentinelle du peuple" ; "Le Comme pour voir, ou Première lettre a l'auteur de la Sentinelle du peuple" ; "Avis au Tiers-État, en réponse a l'auteur de la Sentinelle du peuple"

- Existe aussi sous forme de microfiche, numérisée : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k474535

- D'après Barthélemy Pocquet, aurait été imprimé à Rennes au domicile de Volney, puis au château de Maurepas

- Reproduction sur microforme : "La sentinelle du peuple"

- Références bibliographiques : Deschiens ; Barbier ; Hatin ; Sgard, Journaux, 1209