Images tirées de la presse ancienne de la Principauté de Monaco

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« Chalet russe, neuf en bois de Finlande (non monté), à vendre à Monaco »

Image publiée à Paris, Lyon, Nice et Monaco le 14 mars 1895 dans le journal : Le Gratis-journal illustré

« Occasion exceptionnelle. 12 000 francs, valant 24 000 francs.
Distribution du chalet :
Rez-de-chaussée : Cuisine, 6m60 sur 5m40. Buanderie, 4m80 sur 2m90. Chambre domestique, 6m sur 4m40. Chambre domestique, 3m70 sur 3m70. Cave, 2m sur 2m.
À partir du rez-de-chaussée les escaliers et les corridors font 2m90 sur 4m80.
1^er étage : Salon, 6m30 sur 5m. Verandah et escaliers, 1m60. Salle à manger, 5m40 sur 6m60. Chambre à coucher, 4m80 sur 4m30.
2^e étage : Salon, 6m30 sur 5m. Chambre, 4m50 sur 5m30. Chambre, 3m25 sur 4m30. Chambre, 3m30 sur 4m30.
3^e étage : Chambre domestique, 6m60 sur 4m30. Chambre domestique, 5m30 sur 4m50. Chambre domestique, 6m30 sur 5m.
Façade, 13m30. Profondeur, 10m. Hauteur, 15m. Poids, 53 000 kg. »

« Un parlementaire

indécis »

Dessin de Carbodio

publié à Beausoleil le 26 novembre 1911 dans le journal : L'Écho de Beausoleil et de Monte-Carlo

« Voyons, il s'agit de se mettre un peu au courant de ce qui s'est passé depuis juillet. »

« La mère captive des lois faites contre elle »

Image publiée à Monaco et Paris en avril 1912 dans le journal : La Tribune

Mère captive [Fangen moder], sculpture du Norvégien-Danois Stephan Sinding

, 1888, qui a reçu le grand prix de sculpture

à l'Exposition universelle de Paris en 1889 (aujourd'hui exposée à la Ny Carlsberg glyptotek, Copenhague

).

« — Qui la délivrera ?
— Elle-même quand elle sera parvenue malgré ses chaînes, à relever la conscience de son fils et celle du législateur !
Extrait du bulletin La Tribune, organe pacifiste pour la défense et la protection des mères de famille par la solidarité de toutes les femmes voulant relever l'éducation des jeunes générations par l'action lente et continue des institutions sociales, économiques, humanitaires, anti-alcooliques, etc., etc.
Par les soins du Secrétariat international de la presse et de la propagande féministes, la Délégation consulaire pour la France a adressé aux pouvoirs législatifs et à la presse, la carte postale ci-contre qui est [...] à la disposition des propagandistes. Prix : 4 francs le cent, franco de port.
Nota : cette carte est vendue 0,10 au bénéfice de plusieurs coopératives maternelles, siège principal pour Paris : 24 rue des Bois, Belleville, où l'on peut écrire pour faire prendre à domicile les dons en nature pouvant améliorer le vestiaire des enfants moralement abandonnés. »

La rédactrice de La Tribune, Carmen Legrelle, a vécu un procès en séparation, cf. Revue des grands procès contemporains, t. 4 (1886), p. 229-284

« Un groupe de baigneuses au Monte-Carlo Beach

»

Image publiée à Monte-Carlo le 15 juillet 1930 dans le journal : Rives d'Azur

« La photographie de notre couverture représente un groupe de charmantes Anglaises et Américaines de l'École

Saint-Georges

de San Remo

, dont les directrices sont Miss Tete et Miss Galton, et de l'école de la Villa Georgette de Menton

, sous la direction de Miss Christine Mead.

[...] L'exil mondain peut se décomposer ainsi : de décembre à avril, la Riviera ; d'avril à fin juin, la saison de Paris et de Londres ; de juillet au 1^er septembre, Deauville, Vichy, Aix[-les-Bains] ; et toutes stations à valeur thérapeutique ou mondaine de septembre à novembre. La Côte d'Argent et tout le charme automnal des couchers de soleil au Pays Basque et nos yeux pleins d'embruns ouverts sur le vaste océan. »

Le chef cuisinier Auguste Escoffier avec Charles Scotto, un de ses nombreux élèves. Image publiée à Monte-Carlo en février/mars 1935 dans le journal : Rives d'Azur

« Auguste Escoffier avec Charles Scotto, un de ses nombreux élèves »

Image publiée à Monte-Carlo en février/mars 1935 dans le journal : Rives d'Azur

« À Monte-Carlo [8 bis avenue de la Costa], où il s'était retiré auprès de sa chère épouse [Delphine Daffis

], qui l'a précédé de quelques jours à peine dans la tombe, vient de mourir notre vénéré concitoyen Auguste Escoffier

, qui possédait tant de sympathies dans ce pays. Ainsi que l'a écrit, dans son numéro du 19 février, l'Agence technique de la presse

, c'est dans le petit cimetière de Villeneuve-Loubet, dans ce coin de terre de Provence dont il était originaire, qu'a été inhumé le maître queux Escoffier, dont le nom demeurera célèbre dans l'art culinaire mondial. Celui qu'on a appelé le roi des cuisiniers et le cuisinier des rois a eu des obsèques quasi royales par l'importance des délégations venues de tous côtés lui rendre un suprême hommage. À ses obsèques, derrière les représentants de la Chambre de l'hôtellerie française et des délégués des groupements de Paris, Lyon, Grenoble, Marseille, etc., marchaient les représentants des cuisiniers suisses, des chefs de cuisine d'Amérique, de la brigade du Savoy de Londres

, du Vatel Club de New-York

, des Oyly Carte

et Reeves-Smith

de Londres, de la Société culinaire des États-Unis

, des Claridge's

Hotels de Grande-Bretagne et de la Société des spécialités culinaires de Pologne, etc. »

Lire les livres de recettes d'Auguste Escoffier